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Bac blanc

    Nous, européen(e)s, français(es), parisien(ne)s, lycéen(e)s de terminale, chaptalien(ne)s, avont eu droit comme cadeau de rentrée des classes des vacances de février {toutes pourrites les vacances, soit dit en passant}, a une merveilleuse semaine de blac blanc. {non, non, aucune ironie dans cette phrase.}. Rien que d'y repenser je suis fatiguée...

• Lundi matin: Cours. Nan, nan rigolez pas c'est vrai. En pleine semaine de bac blanc ils réussissent à nous faire venir en cours. Même les profs trouvent ça pas cool du tout. Mais le pire c'est les élèves. Franchement. Quelles peaux de vaches laitières brouteuses d'herbes à chat mal lunée à la direction de ce lycée.
• Lundi après-midi: LV2. Español pour moi. Comme vous vous en doutez, ce ne fût qu'une formalité^^. Ce fut quand même un bon début.
• Mardi matin: Philosophie. Beurk beurk beurk. Au choix: 

                    *explication de texte: un extrait du Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes de J-J Rousseau. {Titre de fou , et dire qu'on est censé lire ce bouquin en entier re } Ce texte -là est parti direct aux oubliettes avec moi.
                      *Sujet de dissertation 2: "L'homme doit-il trembler devant la machine?" Le truc qui n'inspire pas du tout mon cerveau en décomposition partielle.
                   *Sujet de dissertation 1: "Avons-nous besoin de travailler?" Vu le niveau de faignantise atteint par ma personne je me suis sentie inspirée par ce sujet . D'ailleurs comme maintenant c'est enfin terminé et que j'ai du temps à perdre je m'en vais vous taper ma dissert'. Mais j'la met d'une autre couleur comme ça, vous pouvez passer direct-facile à la suite de cet article-super-trop-bien-de-la-mort-qui-tue. Mais si vous vous en sentez l'âme {et surtout le courage^^} dites moi ce que vous auriez mis que je vois mon niveau de pourriturre en philo. Toute façon moi je suis une scientifique. Une vraie, une pure et dure. {C'est tout ce que t'as trouvé comme excuse pour expliquer cette dissertation toute nulle? Pathétique ma ptite dédé -_-''''}

        Nous arrivons donc à la dissertation:

    L'homme a-t-il besoin de travailler, c'est-à-dire, le travail est-il nécessaire à l'homme pour survivre? Le besoin est la conscience d'un manque douleureux pour le sujet qui le ressent; on distingue les besoins contingent (ou désirs), qui ne sont pas indispensables à la survie de l'homme, à bien différencier des besoins nécessaires ou vitaux, qui le sont. Le travail ne peut pas être considéré comme un besoin vital au même titre que la faim ou la soif, pourtant, dans notre société, l'homme a besoin de travailler pour assouvir ses besoins vitaux, ce que nous verons dans un premier paragraphe. Puis, nous verrons dans un second paragraphe que le travail n'est pas forcément le seul moyen d'arriver à ses fins.

    Dans la société actuelle, lorsque l'on est chômeur, donc que l'on n'a pas de travaile, on fait tout notre possible pour en trouver: on s'inscrit à l'ANPE, on écume les petites annonces, on passe des entretiens d'embauche... Mais nous pouvons nous poser une question: pourquoi l'homme met-il tant d'ardeur à vouloir travailler? (Nous examinons ici les sociétés dites modernes de pays considérés comme riches, tels que la France, l'Espagne {Note de moi(=ndm): j'ai réussi à caser l'Espaaaagneuuuhh}, les États-Unis...) Les sociétés actuelles sont construites sur la base du travail commun; une personne travaille et le produit de son travail est bénéfique pour plusieurs personnes: elle-même bien sûr pour l'argent gagné, mais aussi son entreprise qui s'enrichit, les clients de l'entreprise qui profitent des services rendus par cette dernière.
    Le travail de chacun est donc profitable à tous. Mais est-il pour autant un besoin? Au travail, des liens sociaux indispensables à l'épanouissement personnel se créent. Une personne qui ne travaille pas n'est pas intégrée à la société. Nous avons l'exemple flagrant des SDF: ces personnes sans activité professionnelle {ndm: des fois je parle bien :p} ne possédent pas assez d'argent pour se loger, se nourrir et chercher du travail et l'on constate bien qu'elles sont toujours seules; mis à part les bénévoles d'association telles que les restos du coeur qui viennent les voir et les aider de temps à autre.
    Nous pouvons donc dire qu'aujourd'hui le travail permet de gagner de l'argent qui permet lui-même d'assouvir ses besoins vitaux tels que la faim et la soif, mais il permet également une intégration sociale nécessaire à chacun d'entre nous. L'homme aurait donc besoin de travailler pour pouvoir être heureux et être considéré comme "normal" dans la société. Mais ce travail est parfois une contrainte. Certaine hommes n'aiment pas du tout leur travaile et rechignent à devoir se lever chanque matin pour occuper leurs journées de quelque chose qu'ils n'aiment pas tandis que d'autres sont passinée par leur travail et s'y épanouissent totalement.

    Certaines personne se plaisent d'ailleurs tellement dans leur travail qu'elles le font, ou le continuent, plus pour le plaisir que par besoin. Le travail devient alors contingent et peut perdre de sa nécessité. D'autres, plus rares, gagnent de l'argent sans rien faire, par exemple les possesseurs d'entreprises ou les gens ayant placé en bourse une action très bénéfique. Cependant, ce sont des cas plutôt rares.
    Nous avons donc vu que le travail n'est pas un besoin en tant que tel mais plutôt un moyen pour arriver à satisfaire ses besoins. On peut donc logiquement supposer que le travail n'est pas le seul moyen existant et utilisable pour arriver à ses fins. S'il existe d'autres moyens l'homme n'a donc pas besoin de travailler, il peut le faire s'il choisit le travail comme moyen mais si son choix se porte vers autre chose le travaile peut disparaître de sa vie. Une question se pose alors: quels sont, s'ils existent, ces autres moyens? Le vol peut être considéré comme un moyen car on peut voler de quoi combler ses besoins; cependant il est considéré comme illégal donc peu de gens optent pour ce moyen et ceux qui le font doivent se cacher afin de ne pas aller en prison. Mais si l'on y réfléchi, la prison peut aussi être un moyen. On peut commetre un délit, voire un crime, et se laisser emprisonner car les prisonniers sont nourris et logés aux frais de la société. La vie n'est certes pas des plus agréable en prison mais si l'on n'y prête pas attention la prison est un moyen comme un autre, et même moins fatiguant que le travail. {ndm: là je me suis dis: "ils vont me prendre pour une délinquante" ^^}
       En cherchant encore, on pourrait trouver d'autres moyens plus ou moins farfelus, bizarres ou fatiguants pour arriver à assouvir ses besoins vitaux. Le travail n'est donc pas le seul moyen; l'homme n'as donc pas besoin de travailler mais il peut le faire par choix.

       Nous venons de montrer qu'il existe plusieurs moyens autres que le travaille d'assouvir ses besoins vitaux. Cependant, le travail reste le plus simple et le pus répandu. De plus,il possède d'autres qualités telles que l'intégration sociales, l'épanouissement et parfois le plaisir. {ndm: là je me rattrape de la délinquante de tout à l'heure }. On peut donc considérer que nous n'avons pas besoin de travailler {ndm: ça me plairait tellement que ce que je raconte soit vrai } mais {ndm: pourquoi y'a toujous des mais?? } cependant le travail est et reste un moyen sûr d'intégration dans la société donc un facteur du bonheur humain.

• Mardi après-midi: Physique-chimie. La chimie, pas trop difficile, mais la physique, avec un exercice sur un crétin de golfeur qui a envoyé sa balle de golf du green dans le bunker le crétin!! Des histoires d'accélération, avec des primitives à calculer de partout,  la distance à laquelle la balle s'en va selon la vitesse à laquelle le crétin qui joue a tapé dedans, 'fin bref, l'horreur. Me parlez plus de golf je pourrais m'énerver...
  
• Mercredi matin: Histoire-géo. Avec géographie en sujet long. Et donc forcément histoire en sujet court. {Perspicace comme remarque } Au choix:
  

                   *Composition: "Réalités et limites de la puissance des États-Unis d'Amérique". Vu mon niveau de puissance en composition j'ai laissé tomber, même si en fait elle était pas tellement compliquée {ils auraient pu faire pire que ça}
                         *Étude d'un ensemble documentaire: "Contrastes de développement et flux migratoires dans le bassin méditerranéen". Titre en apparence un peu barbarbe mais les documents étaient plutôt faciles d'accès.

• Mercredi après-midi: Révisions. () {Enfin un peu ^^''' }
  
• Jeudi matin: Mathématiques. Eh ben je l'ai pas trouvé si difficile que ça le sujet là non plus! Même l'exo sur les suites était faisable {faut savoir qu'entre moi et les suites c'est psa vraiment l'amour fou...}. Bon après on attend les résultats...
• Jeudi après-midi: LV1. Anglais. La matière dans laquelle ils nous ont sorti le truc le plus dur selon moi. Un texte hyper long, des questions pas si simple, et une expression encore pire.
• Vendredi matin: SVT. J'ai toujours aimé l'SVT, d'ailleurs c'est pour ça que je l'ai choisi en spé . Je n'ai pas trouvé l'épreuve difficile, en plus c'est tombé sur ce que je savais le mieux! {Je suis une chanceuse moi ou alors une magicienne à mes heures perdues (c'est mon côté "black magic woman" )}

   Partie I: "La convergence lithosphérique et ses effets": Reliez les informations apportées par les principales caractéristiques (topographique, magmatique...) de la subduction aux évènements et aux transformations minéralogiques subis par la lithosphère océanique plongeante. On limitera l'étude au cas d'une subduction sous une marge continentale. La réponse sera illustrée par un schéma.
   Partie II-Exercice 1: "Couplage des évènements géologiques et biologiques": Extrayez du document proposé les arguments permettant de montrer le rôle et l'importance des crises biologiques dans l'histoire de la vie.Vous proposerez une définition d'une crise  biologique construite essentiellement à partir des informations extraites du document.
    Partie II-Exercice 2(spécialité): (la drosophile de phénotype sauvage a des yeux de couleur rouge brique {aaah la drosophile! La meilleure amie du scient'SVTiste!}. On connaît des souches mutées dont les yeux sont jaune citron (phénotype zeste). On veut localiser le gène, appelé zeste, impliqué dans le caractère: couleur de l'oeil.) Par la mise en relation des informations extraites de l'analyse des documents, montrez que l'obtention de femelles de phénotype zests dans le croisement n°3 du document 1 plaide en faveur d'une localisation de ce gène sur la partie spécifique du chromosome X.

• Samedi matin: Cours! Vrai de vrai! Comme lundi matin! {bon ok, c'est sport, et alors? Ils auraient pu faire un effort quand même!} Parceque après cette duuuuure semaine on est tous mort de fatigue, le cerveau en compote pas fraîche et mal mixée.